French-Domina
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Première histoire

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Message  paroles-68250 Jeu 30 Avr - 13:58

Bonjour, j'ai écrit ici ma première histoire, à vrai dire je viens d'l'écrire cet après-midi, donc y aurait p'têtre quelques retouches à faire, bref, je verrai cela. En attendant, la voici :

Mardi 28 février 2009, soirée alcoolisée chez un ami. Nous passons au Mercredi 29, l'heure du fameux jeu "Je n'ai jamais", où tous ceux qui ont déjà fait ce qui suit le "Je n'ai jamais" doivent boire. Mais d'abord, Il faut rappeler plusieurs choses. J'ai rencontré Amélie à peu près un an auparavant. Un soir, j'ai remarqué plusieurs petits signes pouvant traduire un côté fétichiste chez elle. Plusieurs soirées plus tard, il y avait de nouveaux signes. Mais toujours bien évidemment une hésitation : bien sûr, elle semble être autoritaire, semble prendre soin de ses pieds et a déjà trouvé un prétexte pour "poser ses pieds sur moi." Ce soir là, je décidai d'en avoir le cœur net.
Amélie n'habitait qu'à deux pas de la maison d'un ami, chez qui la fête avait lieu. Enfin, fête est un bien grand mot, le mot "soirée" conviendrait certainement mieux. Là n'est pas la question. Un épisode de la soirée m'a donné ma quasi-certitude : Amélie voulait allumer sa cigarette et donc récupérer le briquet sur le comptoir, au bas duquel on avait installé des matelas. J'étais justement sur un de ces matelas, au pied du comptoir : Mais Amélie en se saisissant du briquet posa nonchalamment son pied sur mon torse. Pas un mot de ma part, juste un regard. Cest après me l'avoir renvoyé qu'elle me lança : "Tu crois qu'tu peux t'nir si je mets les deux pieds ?". Sans attendre ma réponse, elle s'exécuta, et resta quelques secondes les deux pieds sur mon torse. Bien sûr, il y avait du monde, et je devinais en elle une timidité, elle doutait toujours de mes penchants.
Evidemment qu'elle en doutait : j'avais déjà fait plusieurs allusions au fétichisme, dans le but de la tester. Bref, le moment du jeu arriva. C'était à son tour de poser la question, et, bien évidemment, elle décida de faire tourner le jeu autour du sexe. Première question posée : "Qui a déjà essayé d'aller le plus profond possible dans une chatte avec sa langue ?". J'ai du boire. Au bout d'un moment, nous n'étions plus que tous les deux à jouer : quelques-uns s'étaient écroulés d'alcool et de fatigue, les autres avaient quittés le salon. Bref, nous n'étions plus que deux.
A son tour de poser la question : "As-tu déjà léché les pieds d'une fille ?". Malheureusement, jamais, et c'est justement en ceci que l'expérience d'Amélie me reste en mémoire aussi distinctement : elle était ma première histoire de ce type ! Claire semblait déçue du fait que je n'aie pas bu, mais j'eus vite fait de détruire ses doutes. A mon tour ! Ma question : "As-tu déjà eu envie d'avoir une expérience fétichiste ?". Elle fit un sourire en coin, nous nous étions tous les deux servis un verre ....
Il était tard, et dormir sur des matelas pleins de cendres ne nous disait rien. Le jeu s'est un peu prolongé, puis elle m'a proposé de venir dormir chez elle : "Mes parents sont partis, ils ne rentrent que vendredi, il n'y a aucun souci." Le chemin fut court, mais m'avais laissé le temps de réfléchir : il fallait que je fasse quelque chose, je ne pouvais pas laisser tous ces sous-entendus en suspens, arrivé là-bas, je devais faire quelque chose ! En conséquence, quand elle s'assit sur un pouf, je m'asseyai en face d'elle, mais par terre. Mon excuse : "J'ai la flemme d'aller chercher le pouf là bas". Le pouf n'était qu'à quelques mètres, ce qui rendait l'excuse peu croyable, malgré les verres que j'avais bu. Amélie enleva ses chaussures : ses chaussettes, je les avais déjà vues chez un peu plus tôt dans la soirée, une blanche et une noire, avec un cœur au bout de chacune. Mon propre cœur commençait à s'emballer, tout allait se jouer maintenant.
Elle tendit son pied gauche en face de mon visage : "Eh, t'as vu mes chaussettes, elle sont pas mal non ?". Prétextant une volonté de mieux examiner la chaussette, je pris son pied entre mes mains. Puis ces mots arrivèrent enfin : "Dis, ça t'dérang'rait d'me faire un p'tit massage, j'sais pas c'que j'ai ce soir, mais j'ai vraiment mal aux pieds." Ma seule réponse fut un sourire et l'exécution directe de sa demande. "Tu pourrais répondre quand on te parle !", lança-t-elle alors que je lui massai le pied. Il est vrai que je n'lui avais pas répondu, la réponse me paraissait évidente. Je voyais le tournure qu'allait prendre la scène, et elle était pour moi bien plus que plaisante. C'est pourquoi ma réponse fut simplement un petit "J'suis désolé", aucune contestation ou remise en question des mots de Amélie. A son tour, elle continua le jeu : "Enlève mes chaussettes", son ton était presque autoritaire. Après quelques instants de massage, elle retira brutalement son pied de mes mains.
"J'ai envie de jouer", dit-elle, " Mais à ce que je vois on a plus une goutte d'alcool, tu voudrais pas aller en récupérer une à la soirée, il doit bien en rester quelques unes qui traînent, non ?". Elle me regarda fixement dans les yeux : son regard dominait le mien, pas seulement pas que j'étais par terre et elle sur un pouf, mais aussi parce que nous savions à ce moment là : elle était supérieure à moi. "T'as 5 minutes", ajouta-t-elle avec un sourire en coin, un sourire presque méchant .... Elle prenait du plaisir à ordonner. Je revins une ou deux minutes plus tard. "T'en as mis du temps", fut la seule chose qui sortit de sa bouche à mon arrivée. Je lui tendis la bouteille. "Pose la ici. Voilà mon jeu, je vais te poser des questions, si tu réponds juste, tu bois, mais si tu as tort, tu dois faire ce que je te dis, d'accord ? Et tu dois jouer le jeu, ne perd pas exprès, compris ?". A sa façon de parler, je savais qu'elle se sentait dans un état de supériorité par rapport à moi, elle savait à quel point le désir montait en moi. Il montait en elle aussi, mais son plaisir à elle, c'était de tout contrôler.
"Alors, première question : comment sont les chaussettes que je portais il y a à peine un quart d'heure ?
- La gauche est blanche et la droite est noire, il y a un petit cœur à chaque bout.
- Bien ! Alors, tu bois ? (Je m'exécutai); Très bien, très bien .... Deuxième question : Qui suis-je pour toi ?
- Je dirais une princesse ....
- Vas-y, bois.
- Tu manques un peu de termes à ce qu'on dirait ....
- Ma déesse ??
- C'est de mieux en mieux, dis moi que je suis ta déesse à présent, tu veux ?
- Tu es ma déesse.
- Ah, première erreur : si je suis une déesse, pourquoi est-ce que tu me tutoies ? On dit vous à la déesse, compris ?
- Compris.
- Alors, qu'est- ce que je vais bien pouvoir te demander. Ah oui, enlève ton tee shirt !"
Je fis directement suite à son ordre, et elle posa ses deux pieds sur mon torse.
" Je préfère quand tu n'portes pas de tee shirt, finalement ". Son sourire montrait à quel point elle aimait être au-dessus, supérieure, jouer avec sa proie, la faire languir. "Alors, nouvelle question : qui es-tu pour moi ?
- Ton serviteur.
- Pas mal, mais pas assez, enlève ton pantalon. Alors ??
- Ton esclave ?
- Dis donc, c'est que tu apprends vite petit esclave. Exactement ! C'est ce que tu es ! Tu donnerais n'importe quoi pour baiser mes pieds en ce moment n'est-ce pas ? Mets-toi à genoux, tiens !"
Elle posa son pied droit au dessus de ma tête, et me força ainsi à baisser le visage. Ma bouche n'était qu'à quelques centimètres de son autre pied. "Allez, vas-y, je sais qu'tu n'attends que ça depuis toute à l'heure : embrasse mon pied, c'est un ordre !". Je n'avais jamais été aussi excité, et je ne portais pas de pantalon, il fut donc facile pour Amélie de le remarquer : "Dis donc, j'te fais tant d'effet que ça ?". Et avec son pied elle repoussa ma tête, je me retrouvai à genoux à nouveau. " Dorénavant, comme tu as l'air d'aimer ça, tu devras ajouter maîtresse à chaque phrase qui m'est adressée, sommes-nous d'accord esclave ?
- Oui maîtresse.
- Enlève ton caleçon.
- Oui maîtresse."
Je bandai de honte et du plaisir d'être humilié. Amélie posa son pied sur mon pénis, et commença à jouer. "Je t'ai dit que j'adorais les jeux, non ? Ah, quand je pense que je me suis posée des questions sur toi si longtemps ! C'était évident qu't'étais qu'un pauvre chien ! Tu kiffes c'que j'fais, hein ? Et bah lèche mon autre pied en même temps, connard !
- Oui maîtresse.
- Oh, j'peux même t'insulter, tu ne diras rien. T'es vraiment qu'une sous-merde !
- Ecoute Amélie, p'têtre que ça va un peu loin, non ??"
Claire n'était plus du tout dans le même état d'esprit que moi.
" Alors c'est comme ça ?? Très bien, je retire mes pieds alors, tu peux aller te coucher à l'étage, dans la chambre de ma soeur, elle n'est pas là non plus, bien évidemment.
- Non maîtresse, pitié.
- Alors c'est comme ça ?? Tu crois qu'un esclave peut choisir quoi que ce soit ?? C'est moi qui prend les décisions ici, est-ce clair ?
- Oui maîtresse.
- Il faut te racheter maint'nant. Je sais ! Dis moi quelle sous-merde puante tu es !
- Je suis une sous-merde puante maîtresse.
- Tiens, baise-ça !
" Elle m'avait présenté les plantes de ses pieds que je me mis à embrasser tendrement. De son côté, elle commençait à glisser sa main dans son jean. Elle se touchait....
" Roule moi une cigarette ! Et démerde-toi pour continuer à me baiser les pieds, on est d'accord, chien ??" Mon expérience de fumeur me rendit la tâche peu difficile. "Et qui c'est qui va l'allumer à ton avis la cigarette ? Putin, mais tu sers vraiment qu'à lécher les bottes toi, hein ?
- Oui maîtresse.
- Comme c'est mignon ! Tu me restes obéissant quoi qu'il arrive."
Cette prise de conscience du contrôle total qu'elle avait à présent sur moi (je n'dis rien alors qu'elle m'engueule parce que je lui ai roulé une clope, et je me soumets) l'excitait terriblement. Je la voyais se mordre la lèvre pendant qu'elle se faisait plaisir. " Approche-toi !", me dit-elle. Et elle me tendit ses doigts dégoulinants. "Lèche le chien !". Elle mit un à un ses doigts dans ma bouche, j'étais au summum de l'excitation : je voulus absolument me masturber, mais ma demande ne fut pas accordée. "Te branler, pour quoi faire ? Depuis quand c'est ton plaisir qui importe ? Je sais très bien que j'ai tout pouvoir sur toi, je le vois, tu m'es soumis, tu es à mes ordres, pourquoi t'autoriserais-je quoi que ce soit ? Regarde même ce que je peux faire sans que tu ne me dises rien". Et elle me cracha au visage. Elle atteignit le front, la bave dégoulinaite ainsi le long de mon visage. "Tends ta langue !". Elle approchait son visage et déposa délicatement un crachat sur ma langue. "Avale, maint'nant !!". Ne bouge pas, et sutout tu te branles pas ok ?? Sale pervers !! J'reviens dans deux s'condes !!". Je ne réfléchissais même pas une seconde à ce qu'elle faisait à côté, je n'attendais que son retour, je n'avais que ça en tête. Elle réapparut avec ce qu'il me semblait être un appareil photo. Le temps que je comprenne ce qu'elle allait faire, c'était déjà trop tard, je venais de voir le flash. J'ai maint'nant un moyen de pression, le chien, tu vois ? Tu vas rester mon chien, à moins que tu ne veuilles que cette photo et celles qui vont suivre ne soient divulguées ?? Vas-y, viens, rampe jusqu'à moi. Très bien, regarde les belles photos que je prends, tu voudrais pas qu'elles soient dans ton album de famille quand même, hein toutou ?
- Non maîtresse, pitié maîtresse !! "
- Viens m'implorer à genoux !! Avance toi, là, tu es parfait, je peux te filmer en plus !!
- Maîtresse, je ferai tout ce que vous voudrez, tout ce qui vous plaira, je suis votre chien, votre soumis, votre objet, j'exécuterai tous vos ordres, mais pitié, je vous en supplie, gardez ces photos uniquement pour vous !!
- Tu irais jusqu'où pour moi ?
- Je ferai tout c'que vous voudrez, tout !!
- Eh bien, dis moi, qu'est-ce que c'est, tout ?? Révèle-les moi tes putins de fantasmes de soumis, connard !!
- J'accepterai d'être votre urinoir.
- Répète ça pour la caméra. Branle toi en même temps !!
- J'accepterai d'être votre urinoir.
- Pas de chance pour toi, je n'ai pas besoin de me vider pour l'instant, mais je saurai où aller si besoin, ça tombe bien d'ailleurs, mes chiottes sont en haut, tu vas pouvoir être mes chiottes, hein ??
- Oui maîtresse.
- A genoux devant la pouf' !!"
Elle s'assit en face de moi, l'appareil tourné vers mon visage. Puis elle l'éteignit. Elle déboutonna son pantalon de la même manière qu'il y a quelques instants, avant qu'elle ne se touche et qu'elle m'ordonne de lui lécher les doigts. Elle se leva, et son jean glissa à ses pieds. " Viens me le retirer. Bien. Plie le maint'nant. Très bien. Va le poser sur la chaise là bas. C'est parfait !! A présent, à genoux, remets toi en position !! Je crois même qu'on devrait l'appeler tout simplement ta "position" non ?? A genoux, en train de me supplier de te laisser lécher mes pieds, comme un chien !! Qu'est-ce que t'en penses alors ??
- Oui maîtresse.
- Alors en position, chien !!
- C'est bien, comme quoi, j'ai l'impression d'avoir des talents innés pour le dressage, qu'en penses-tu ?
- Vous avez tous les talents ma maîtresse.
- Comment ça, ta maîtresse ?? Je n'suis pas à toi, tu es à moi, on est d'accord, mais c'est tout, compris connard ??
- Oui, je m'excuse maîtresse.
- Viens, à présent. (Elle retira son tee shirt, puis son soutien-gorge. Il ne restait plus que son string.) Tu bandes à mort hein, connard !! Eh ben figure toi qu't'y touch'ras pas à mes nichons pour l'instant, ok ?? J'sais même pas si t'y touch'ras tout court !! T'es bon qu'à lécher mes pieds. Mais j'ai envie d'faire un test supplémentaire : t'es bon au léchage de chatte ?? Tu t'rappelles de ma question non ?? Enfoncer sa langue au maximum, tu t'en rappelles non ??
- Oui maîtresse.
- Mais alors qu'est-ce que t'attends, vas-y !!"
Elle ne mit pas longtemps à jouir, je n'étais pas le seul au summum de l'excitation. Elle me fit tirer la langue, posa son doigt au-dessus, et m'ordonna de le suivre. Là, elle m'amena jusqu'à la zone entre ses deux-jambes, et m'agrippa les cheveux, tout en écrasant mon visage contre son vagin, ce qui semblait accroître démesurément son plaisir. Et quand je pensais cela terminé, j'essayai de retirer ma tête, mais ceci me fût impossible.
" Ne bouge pas !! Tu sens, ça coule hein ? Qu'est-ce qu'on a pu boire ce soir aussi. N'en perds pas une goutte surtout, si il n'y a ne serait-ce qu'une seule trace sur le pouf', tu l'amèneras à la laverie d'accord ?? Vas-y, tu peux te branler maint'nant, maint'nant que je te pisse sur la gueule ...."

paroles-68250

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Message  FrenchRabbit Ven 1 Mai - 10:08

Un grand bravo !

Elle est super votre histoire tout à fait dans le style que nous produisons !
Vous êtes dispo quand avec Amélie ? Very Happy
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Message  paroles-68250 Dim 3 Mai - 14:14

A mon plus grand malheur cette histoire n'est bien qu'une invention, enfin une demi-invention. Affaire à suivre avec Amélie .... Et merci pour le compliment. Very Happy

paroles-68250

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Message  cunisoumis Mar 25 Juin - 15:22

Je suis nouveau sur domina, et j'adore ton histoire! Est ce que je pourrais aussi être renseigné sur ou trouver des histoires du même genre ?

cunisoumis

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